Pourquoi votre marketing Internet ne fonctionne pas ? Pourquoi malgré vos efforts, le temps passé ou les budgets engagés, votre stratégie Internet ne donne pas les fruits espérés en terme de prospects, touches, opportunités, ventes ou contrats ? Alors pourquoi votre trafic et votre audience sont faiblards, pourquoi vos réseaux sociaux n’impactent pas votre chiffre d’affaires, pourquoi vos campagnes ne sont pas rentables et pourquoi votre prospection par email ne fonctionne pas ? Surtout pourquoi vous n’y arrivez pas alors que vos concurrents ont l’air de marcher sur l’eau en affichant des résultats insolent ? Quel est l’ingrédient manquant ? Avez-vous simplement raté le train en marche ou est-ce que vous vous y prenez si mal que cela ?
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Les raisons de l’échec de votre marketing sur Internet
Je vais essayer de vous éclairer sur les raisons de vos mauvais résultats (si vous êtes dans cette situation évidemment mais si vous êtes tombé sur ce guide, vous vous posez certainement la question).
1. Donc la première raison de vos résultats mitigés peut venir :
- D’une bonne analyse et d’une bonne stratégie.
- Mais malheureusement mal exécutée.
Si c’est le cas, je vous recommande d’accéder à tous mes guides gratuits pour vous remettre à niveau et être armé face à la concurrence :
- Guide du référencement naturel
- Guide du marketing sur les médias sociaux
- Guide du content marketing
- Guide de la publicité en ligne
- Guide de l’email marketing
- Guide du marketing automation
Je vous apprends à maîtriser 100% des leviers marketing dans ma formation.
2. La seconde raison peut venir :
- D’un mauvais diagnostic de ce que vous « devriez » faire sur Internet.
- Et donc par conséquent d’une mauvaise stratégie découlant de ce mauvais diagnostic.
Dans ce cas difficile de vous blâmer : Internet évolue sans cesse et une « bonne stratégie » voici 3 ou 4 ans sera bien souvent obsolète si vous l’appliquez aujourd’hui.
Les stratégies qui fonctionnaient en 2010 ou 2020 ne permettent pas d’obtenir des résultats similaires aujourd’hui.
Les marketeurs pourrissent vos sources de trafic et de prospects préférées en les essorant, en essayant d’en contourner les limites pour en tirer le maximum alors même que leurs performances diminuent et que la concurrence augmente. Jusqu’à ce qu’à force d’être matraquées, vos cibles s’habituent et finalement se désensibilisent.
Ce sont également ces techniques de plus en plus agressives qui forcent les plateformes (Google, Facebook, X/ Twitter…) à évoluer pour les contrer.
C’est la fameuse course entre l’épée et le bouclier.
Quand une stratégie est sur-utilisée, elle est précisément en train de se périmer.
Or, si vous voyez qu’une tactique ou un hack est accessible en ligne sous forme de centaines de tutoriels ou de vidéos, cela signifie que les meilleurs experts sont dessus en sous-marin depuis des années. Un bon marketeur ne donnera jamais ses « coins à champignons » à moins qu’il commence à voir plus d’intérêt à en parler qu’à utiliser un hack pour son propre bénéfice.
Cela ne signifie pas que vous devez rayer telle ou telle stratégie de votre mix marketing mais….
Pour garantir des performances satisfaisantes, vous devrez alors :
- Soit augmenter votre niveau pour vous distinguer de vos concurrents (meilleurs contenus, publicités, emails…)
- Soit nicher pour mieux parler à votre audience.
- Soit partir et trouver de l’air sur de nouveaux canaux émergents.
Vous devez donc apprendre à vous mouvoir dans un monde en changement sans non plus suivre la « hype » (« vous devez faire du SEO » « Le référencement, c’est mort, maintenant faites des webinaires » « Les webinaires ne fonctionnent plus, désormais c’est l’IA… ») sans avoir de cap clair.
Cela s’anticipe et requiert de prendre des risques car oui miser sur l’IA, TikTok, Instagram ou Pinterest lorsque ces plateformes et canaux commençaient juste à émerger nécessite d’avoir du flair et d’accepter aussi de sous-performer pendant un moment (voire de ne jamais être récompensé de vos efforts).
Mais ceux qui prennent les vagues à leur démarrage en tirent des bénéfices énormes (je connais des consultants qui se sont mis sur TikTok quand c’était une app de contenus débiles pour les jeunes et qui désormais ont 100 000 abonnés sur une thématique business avec des revenus à 5 chiffres mensuels).
Chaque canal marketing connaît (ou connaîtra) en effet 3 phases de développement (puis de pourrissement).
Il s’agit d’un processus presque naturel de vie et mort des plateformes et stratégies : que l’on parle de Google, des réseaux sociaux, de la publicité, de l’emailing ou des sources émergentes comme l’IA, l’AEO, le setting, le cold email, le growth hacking ou de la prochaine idée qui naîtra dans 2 ans…
Nous allons voir quelles sont ces 3 phases et cycles que traverseront chaque canal, stratégie ou outil marketing.
Et en conséquence, comment anticiper ces changements pour adapter votre stratégie.
1. La première phase est celle de la croissance :
Dans la vie d’une stratégie, il y a un commencement.
Lorsque les 1ers utilisateurs sont peu nombreux :
Exemple : remettez-vous dans le contexte de ceux qui ont découvert et adopté dans les premiers des outils ou plateformes comme ChatGPT ou Facebook comme leviers marketing (c’est mon cas, j’ai monté une page à 500 000 abonnés au démarrage de Facebook).
A ce stade, ces canaux ou plateformes sont imparfaites mais prometteuses.
Imparfaites car peu d’utilisateurs sont dessus ou ont compris le potentiel, les technologies sont peut-être balbutiantes, les interfaces sommaires…
Il faut un peu creuser techniquement pour en tirer quelque chose, même sans doute savoir bidouiller.
En bref, la stratégie n’est pas livrée « clé en main ».
Mais les curieux qui prennent le taureau par les cornes et poncent le sujet alors le bénéfice peut être maximum.
Remettez-vous en tête les premiers qui scrappaient Google ou des annuaires à la recherche de milliers de contacts email pour ensuite optimiser leurs serveurs pour ne pas passer en spam et solliciter leur cible. Quand ils étaient seuls ou quasi seuls à le faire, le taux de réponse était forcément plus élevé que maintenant où l’accès à ces outils nécessite d’être juste un peu malin mais pas plus.
Sauf qu’à mesure que la plateforme ou l’outil se développe (et permet de générer facilement de la visibilité ou des revenus), elle attire plus de monde.
En phase de croissance, son intérêt est d’attirer un maximum d’utilisateurs, d’appuyer le développement des usages qui plaisent ou de supporter les créateurs de contenus. A ce stade, le focus est le développement de la traction des débuts.
Lorsque j’ai pris la vague Facebook à ses tous débuts, on a connu des jours à +5000 abonnés où chaque post basique drainait 1000 à 5000 likes et 25 000 clics par mois vers mon site. Ce n’était pas « facile » mais on était payé x10 pour nos efforts, non pas parce que nous étions des génies mais c’était dans l’intérêt de Facebook de nous fidéliser et de nous encourager à créer des contenus de qualité.
Investir dans une stratégie, une plateforme, un outil dans cette phase est risqué mais si la technologie résiste, vous gagnerez immédiatement une position dominante. Je vois des comptes à 10000 abonnés sur Bluesky, si X / Twitter venait à s’arrêter ou décliner, ces utilisateurs passeraient automatiquement à 100 000 followers. Mais oui, si cela n’arrive pas, ils resteront sur des volumes trop faibles pour que la plateforme soit intéressante.
Si vous vous mettez à fond dans la génération de contenus par IA, vous vous ferez peut-être sauter vos comptes ou n’obtiendrez pas de résultats, mais si vous le faites massivement et trouvez un trou de souris, vous pourrez générer des millions de vues sur Instagram ou Youtube.
C’est un pari, il faut l’accepter.
Je vous apprends à définir votre stratégie marketing Internet dans ma formation.
2. La seconde phase est celle de la maturité :
Les utilisateurs arrivés au tout début de la plateforme ou de l’outil commencent à ce stade à vraiment rentabiliser leurs efforts.
Il devient plus difficile pour les nouveaux entrants de prendre une position dominante et les tactiques classiques commencent aussi à moins bien fonctionner.
A mesure que ces tactiques deviennent plus accessibles (car plus connues, plus faciles à utiliser, plus évidentes car prouvées par ceux qui ont pris un risque), on voit d’une part arriver les « suiveurs » (qui se disent « moi aussi je veux une part du gâteau) mais également apparaître les premiers « hardcore gamers » qui proposent des contenus de meilleure qualité, plus nichés, plus viraux, plus excessifs, plus trash…
Rappelez-vous lorsqu’un contenu de 500 ou 800 mots permettait régulièrement de ranker sur Google voici 10 ou 15 ans. La taille ne compte pas toujours mais aujourd’hui clairement il existe des dizaines de millions de contenus de 500 mots donc pourquoi vous classer premier ?
Sur le même thème : si vous envoyez des newsletters basiques, vos taux d’ouverture seront moins hauts qu’il y a 10 ans quand les bonnes newsletters étaient rares (normal vous êtes désormais en concurrence et nos boîtes emails sont pleines de messages commerciaux).
A ce stade, ceux qui restent avec leurs techniques à l’ancienne commencent à décrocher.
Il est souvent possible de payer (comptes premium, campagnes de publicité) pour conserver la visibilité que vous aviez en gratuit avant.
C’est une conséquence logique de la montée en puissance du canal marketing en question : plus il suscite d’intérêt, plus il se professionnalise et plus des ambitieux vont chercher à capter une partie de la valeur créée en développant des outils ou en proposant des services additionnels.
Rappelez-vous comment Instagram performait à ses débuts (j’ai nombre d’amis qui ont pris la vague à ses débuts et qui ont entre 50 000 et 100 000 abonnés sans avoir des contenus fous, juste parce qu’ils étaient là avant les autres) et comment aujourd’hui il est devenu plus compliqué d’obtenir des vues à mesure que l’application a grandi (Surprise ! Vous pouvez utiliser les Facebook / Instagram Ads désormais si vous voulez continuer à toucher votre audience).
Rappelez-vous enfin quand Linkedin est devenu tendance : il n’était pas rare de faire un post à 100 000 vues. A mesure que la « hype » a grandi, des outils sont apparus pour aider à trouver des idées virales, à automatiser la relation avec vos contacts, à générer des rendez-vous clients…
Je vous apprends à élever votre niveau dans ma formation.
3. La troisième phase est celle du déclin
Une phase de déclin pour les entreprises mais a contrario également d’un certain âge d’or pour les plateformes elles-mêmes.
A ce stade :
- Les plateformes disposent d’une communauté forte et souhaitent monétiser leur audience.
- Les outils se savent incontournables avec un nombre de fonctionnalités solides et veulent augmenter leurs prix.
- Les canaux marketing font partie de 90% des stratégies des entreprises car elles ont compris qu’il « fallait en être ».
A ce stade aussi :
- Le canal est validé comme incontournable mais…
- La portée des contenus et les taux de clics des campagnes diminuent.
- Les budgets à investir, les efforts à consentir, le temps nécessaires, les coûts par conversions augmentent…
C’est le cycle normal : les grands acteurs qui génèrent la plus forte rentabilité (et capables d’investir dans une publicité chère mais efficace) évincent les petits (qui profitaient d’une audience gratuite grâce à leur expertise ou créativité).
Vous avez le choix de rester ou de partir et d’aller à la conquête de nouvelles terres ou l’herbe est plus verte.
Partez à la recherche d’une nouvelle Terra Incognita, certes risquée (car vous pouvez échouer), mais regorge de futures richesses.
Vous êtes de taille petite ou moyenne, vous pouvez prendre ce risque.
Les grands acteurs de votre secteur ne le peuvent pas, ils vivent de leur rente et ne peuvent prendre le risque de passer pour des blaireaux sur TikTok ou de spammer leur cible.
Vous êtes agiles.
Vous pouvez échouer.
Personne ne vous regarde.
Je vous apprends à conquérir de nouveaux marchés dans ma formation.
A vous de jouer.
Générer du trafic et de la visibilité pour votre entreprise est un volet majeur du programme "Trafic & Clients".